Marine Joatton est citée dans Le Figaro Magazine daté du 14 mars 2009 (l’article en téléchargement) et le journal A nous Paris.
Auteur/autrice : admin
Art Paris 2009
19-23 mars 2009
Marine Joatton est représentée par La Galerie Eric Dupont à Art-Paris, au Grand Palais

Salon du dessin contemporain
26-29 mars 2009
Pour la troisième année, Marine Joatton participe au Salon du dessin contemporain avec la galerie Eric dupont. 1, rue Dupetit Thouars – 75003 paris. Vernissage le mercredi 26 mars.Lire le communiqué
Frac Picardie, acquisitions 2009
6 février au 13 juin 2009: FRAC Picardie, exposition des acquisitions 2007-2008, dont 12 dessins de Marine Joatton

A fleurs de peau II : le dessin à l’épreuve
10 janvier-21 février 2009 : A fleurs de peau II : le dessin à l’épreuve, Exposition collective de dessins, galerie Eric Dupont, Paris.

Damien Cabanes, Didier Mencoboni, Clément Bagot, Penny Yassour, Yazid Oulab, Paul Pagk, Claire-Jeanne Jézéquel, Thierry Siobhan Liddell, Gil & Moti, Myriam Mechita, Daniel Alcalà et Marien Joatton.
Article publié dans la revue Balthazar
Article de Marie Maertens, publié dans la revue Balthazar (mars 2009)
« Biographie : ce que l’on remarque immédiatement chez Marine Joatton, ce sont ses formats. Grands, très grands pour des dessins puisque le papier dépasse parfois les deux mètres. Mais le motif est loin de couvrir toute la surface. Bien au contraire, le blanc de la feuille revendique une circulation, une respiration que l’on prend avant de s’attaquer au motif et d’admirer la virtuosité technique de cette artiste née en 1972 qui vit à Paris. Marine Joatton a, très tôt, mêlé les techniques, jusqu’à introduire des matières écrasées ou des vernis aux plus classiques crayons, encres ou aquarelles. Elle croquait au départ, de façon obsessionnelle, la vie enfouie des bêtes, avec une prédilection pour les taupes, ou s’attachait aux mamelles, aux poils, aux membres, aux dents… Aujourd’hui, si elle nomme encore ses œuvres « anémone », « jardin », « chien » ou « créature », elle flirte de plus en plus avec l’abstraction qu’elle manie à l’aide d’huiles. Mais toujours avec cette même fougue, ce même jeter pulsionnel qui exprime les sentiments les plus intimes. Et si l’acte est compulsif, l’interprétation exacte demeure évidemment plus retenue et plus discrète, dans une grande élégance ».